Vallé de la Semois : le récit de Jim traduit de l’anglais
dimanche 24 juillet 2005 , par
Vendredi 2005-07-08
Départ de la maison à 11:25, navette à 13:20, et juste manquée celle 13:35. Hé-ho, aucun problème pour celle de 14:05 pensais-je ainsi que quelques autres deux roues. Hélas, l’embarquement des navettes était si lent que nous avons du prendre celle de 14:35 ! Grr.. Ce qui était le plus frustrant, c’est qu’il avait commencé à bruiner pendant toute avancée si lente de la file et qu’il n’y avait aucune possibilité de mettre des vêtements ad-hoc. Finalement pas trop mouillé, merci aux Dieux, et les autres deux roues étaient de bonne compagnie. Ils descendaient de Skegness pour visiter la Normandie et plus loin.
Donc, à 16:15 CET, je pars pour mon terrain de camping, quelque part l’autre côté de Bruxelles. Gertie a semblé savoir le chemin, mais à mi-chemin les informations se sont faites éparses. Aargh ! Je pensais avoir téléchargé les cartes détaillées mais il n’y avait que la carte de base. Et c’était à quelques centaines de mètres près ! Cela promettait un bon amusement.Après un détour par l’aéroport de Bruxelles, et certain nombre d’embranchements manquée, j’ai trouvé le terrain de camping à 20:30.
Il avait évidemment souffert d’un déluge affreux durant la journée (j’en ai traversé deux), et il n’y avait aucune autre tente là, juste une caravane de tourisme, et des centaines de statiques. Ainsi j’ai pu choisir où planter la tente et j’ai trouvé un endroit idéal.
La tente GBP10 Tesco s’est montée sans accroc (pourquoi ils suggèrent dans les instructions d’être à deux personnes pour le faire puisqu’il s’agit dune tente individuelle ?) et le matelas gonflable GBP5 a été gonflé de façon très paresseuse avec le compresseur électrique pour pneu. Le sac de couchage GBP5 n’a pas été conçu pour tenir chaud, ainsi après avoir lu un livre grâce au phare et quelques scotchs pour aider le zzz, je m’y suis glissé entièrement vêtu, excepté des chaussettes. Bien, pourquoi pas ? Ce qui la différence entre cela et tomber tout endormis dans une chaise, c’est bien l’hygiène des pieds ! Lumière dehors à 23:00. ZZZZZZZZZ...
Samedi 2005-07-09
Réveillé à 06:30, le réveil n’était pas nécessaire. Un matin très brumeux, j’espérais vraiment que cela s’éclairerait plus tard. Mais le café dans le thermos était encore très chaud ! Whoo-hoo ! Ainsi j’ai pris un petit déjeuner d’un sandwich acheté la veille, et emballé à un rythme insouciant. Parti à 08:05, après un plein et un léger détour (merci Gertie. ) arrivé au mémorial de Waterloo 09:15. Du brouillard tout le trajet.
Je devais être le dixième arrivé, et Christian était arrivé avant moi, et présentations de tout le monde. Quelques motards et motos très intéressants. Il y avait des trikes, un avec un moteur de X9 500, plusieurs types de Dragstar, une moto sportive par certains aspects et environ quatre X9s, un Majesty, un Atlantic et je ne me souviens plus des autres. Les Belges ne font pas de distinction entre les différentes sortes de deux roues, comme nous les Britanniques le faisons, hélas. Tous ceux qui apprécient les deux roues (indépendamment de leur version des chavs) font partie de leur fraternité.
Vers 10:00, tout le monde étant arrivé, le soleil ayant percé le brouillard, et les instructions étant données. "Oui, la formation en quinconce", et "Chacun garde sa place dans la file". Plus sur cela plus tard : / La Belgique ne permet pas à des voitures de se mêler aux deux roues, et il y a six ou sept "Capitaines de Route" qui devaient faire exactement la même chose que le jour de Killspills, avec la complication supplémentaire de "Priorite à Droite" nécessitant des arrêts supplémentaires pour eux.
Le sifflet retentît et les deux roues en tous genres quittèrent les lieux à 10:05. Le premier arrêt était à la périphérie de Charleroi pour un arrêt carburant ensuite direction Philippeville pour un arrêt toilettes. Il y avait un bon nombre de lignes droites dans le parcours du matin, avec des panneaux de virages quand il s’agissait simplement de changements de quelques degrés dans la direction !
Arrivé à Beauraing vers 12:45 pour le déjeuner dans un équivalent Belge du Ace café. Plusieurs autres motos, y compris un side-car se sont joints à nous là, notamment Eric sur son X9500 Evo. C’était un de plus qui pouvait parler anglais, avec Christian, et traduire...
... Après le déjeuner à 14:20 nous avons continué la randonnée avec plus de moments sympathiques. Nous avons atteints Bohan à 15:00. Une belle ville, où nous avons pris un café, et Eric nous a indiqué qu’il avait juste acheté une maison tout près parce que le coin était merveilleux en deux roues.
À 15:25 nous repartons mais 20 mn après le départ, Eric nous arrête Christian et moi. Il s’est arrêté pour nous montrer une vue magnifique, de la rivière la Semois qui a découpé, près de Rochehaut, comme une île montagneuse de près d’un kilomètre de large, niché entre des monts. Tous les trois nous continuons jusqu’à Corbion et un "Musée du Tabac" où ils roulent leurs propres cigares. Je ne suis pas allé à l’intérieur, mais Eric et Christian ont acheté quelques articles C’était une idée très bonne d’Eric de s’arrêter.
Nous avons eu ensuite un tour ragaillardissant vraiment avec les côtes et les descentes, les virages sur la route. Il aurait été impossible de l’apprécier autant que cela en étant resté dans le cortège principal. Nous avons rattrapé les autres à un pub très plaisant près de Bouillon.
Après un verre de bière, la randonnée repart et Eric, Christian et plusieurs autres repartent chez eux. Je suis allé de nouveau à Charleroi avec le groupe Belge principal, arrivant à leur local à 19:10. Avec moins, peut-être vingt au total dans le groupe, nous avons eu beaucoup de plaisir au retour, et les capitaines de routes faisait ce qu’ils devaient faire avec grand plaisir. L’itinéraire de cette journée ici. Mes photos sont ici, celles de Christian.
Patrick et Swa m’ont offerts un sandwich, un hot dog dans le pain décent et une saucisse appropriée. Une belle dame, grand amusement. Ils ont coupé court à leur soirée et ont fait plusieurs milles de détour pour me montrer la direction de Calais, parti à 20:00 et me faisant des au-revoirs en dehors de Lille à 21:10.
Arrivé à Calais à 22.25. Devinez quoi ? J’ai juste raté une navette, et ai dû attendre celle 23:45. Ça ne fait rien, j’avais mon livre, et après un café, assis sur le X9, j’ai lu. Le seul autre motard était un gentil type avec un Circa 1981 Goldwing.
De retour à Blighty à 23:40, et à la maison vers 01:20, fatigué, mais bourdonnant avec le voyage. Mes posts la nuit dernière indiquent que je ne me suis pas couché avant environ 04:30, mais alors ensuite ZZZZZZ.
Les Belges ont demandé si nous viendrions plus nombreux l’année prochaine. C’est certainement un tour avec une différence, et si un itinéraire plus agréable était choisi cela ferait un excellent long week-end.
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