Peugeot Géopolis 250 cc : promesses tenues (2/2)
lundi 3 septembre 2007 , par
Pratique sous toutes les coutures mais...
Le coffre accueille bien un casque "jet" mais pas plus.
Assez allongé, il permet de caser aussi la baguette de pain qui restera bien au chaud, car le moteur est juste en dessous et il n’y a pas d’isolation (c’est aussi le cas du vide poche). Le fond est tout arrondi et irrégulier car il est concu pour enrouler la chaine livrée sur le modèle City.
C’est un peu comme pour disposer les meubles dans les logements imaginés par l’architecte Le Corbusier, les scientifiques du rangement y perdent patience ! Pas de problème, vous pouvez opter pour le petit top case de 29 litres au couleurs de la carosserie, et là c’est le bonheur.
Si ça ne suffit pas, on a aussi un (petit) vide poche devant.
Et on peut encore placer entre les jambes un sac souple attaché au crochet judicieusement placé sous le guidon. Au final, on emporte le pique nique complet.
Un modèle de motorisation
En adoptant une conduite régulière mais non moins efficace, le petit 250 Quasar, bien que dans sa version euro 3, émet une jolie sonorité, pousse à tous les régimes, et se contente de 3 litres aux cent kilomètres, ce qui pemet une très bonne autonomie (plus de 350 km sans se poser de question).
Conclusion
Le Géopolis m’a tellement séduit que je l’ai utilisé tous les jours au détriment de la Bandit 1200.
Finalement, à 4 149 ? (modèle Premium) on peut se pemettre d’avoir les deux engins.
Pour la revente, c’est un peu difficile car il n’y a pas de marché pour cette cylindrée en France. Je m’en suis aperçu à mes dépens lorsque j’ai craqué pour le Satelis 500 en juillet dernier !
Voir les caractéristiques techniques du Peugeot Géopolis 2500 cc