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Metzeler calendrier 2016 : deux roues et cinéma "Take the Road"

mercredi 16 décembre 2015 , par Jean-François

Pour sa 23ème édition de calendrier, Metzeler s’est inspiré du cinéma et intitule « Take the Road » les deux versions de calendrier 2016.

La « Classics » comprend des clichés de films ayant marqué l’histoire du cinéma et la « Contemporary » des photos prises pendant le tournage des films qui ont participé aux trois éditions du Motorcycle Film Festival de New York.

Metzeler « Take the Road » célèbre, à travers une série de clichés tirés de films anciens et actuels, la moto et son histoire dans le monde du cinéma, né lui aussi à la fin du XIXème siècle.

Respectant la tradition, cette 23ème édition de l’emblématique calendrier comprend deux versions, la « Classics » et la « Contemporary ». Ces deux sections offrent aux fans la possibilité de choisir entre des photos en noir et blanc, qui évoquent des films légendaires ayant marqué l’histoire du cinéma, et des clichés contemporains de films qui ont participé aux éditions 2013, 2014 et 2015 du Motorcycle Film Festival. Ce rendez-vous cinématographique, né il y a trois ans à New York, propose le meilleur du cinéma indépendant contemporain consacré au monde des deux roues.

« Take the Road with ROADTEC™ 01 », la campagne d’introduction du nouveau pneu sport touring de Metzeler, qui transforme le voyage en une expérience digne des plus grands films, trouve dans ce calendrier une prolongation, après les « 48 Hours on The Road », un marathon des meilleurs films de voyage du Motorcycle Film Festival, qui s’est déroulé à Milan en novembre dernier à l’occasion de la semaine consacrée au monde des deux roues.
D’un côté, des photos de films historiques, de l’autre, des films plus modernes provenant du Motorcycle Film Festival : une manière innovante de rappeler à tous les motards que le voyage à moto peut se transformer en une histoire fantastique à raconter dans un film.

La moto et le cinéma, tous les deux nés à la fin du XIXème siècle, étaient prédestinés à une collaboration. Depuis les débuts du cinéma, la moto a eu une place de choix dans les scénarios, en apportant au monde du grand écran divertissement, liberté, émotions, aventure, rébellion et style. La moto est l’essence de quelque chose de fantastique, une compagne romantique, l’exploratrice infatigable des grands espaces : ce calendrier exalte son passé et ses exploits présents dans le cinéma.

« Take the Road – A classic tale of wheels and reels » est le titre de la version Classics dont la couverture est une photo de « No Limit » de Monty Banks, une comédie musicale anglaise de 1935 avec George Formby. De véritables pilotes ont fait figure de cascadeurs durant le tournage qui a eu lieu pendant les courses du Tourist Trophy de l’Île de Man. Le film rencontra à l’époque un tel succès qu’aujourd’hui une statue de George Formby trône fièrement à Douglas, sur l’Île de Man.

Les deux premiers mois de l’année sont représentés par l’acteur James Coburn couché sur une moto pendant un moment de pause durant le tournage du film de Sergio Leone « Il était une fois la révolution » (1971) qui se déroule au Mexique en 1913.
Mars et avril nous plongent dans l’entre-deux-guerres quand Phil Whitman réalisa « Motoring Mamas » (1929), un classique de l’époque du cinéma muet.

En 1980, l’œuvre de Peter Starr « Take It to the Limit » sort dans les salles. Les clichés des mois de mai et juin mettent en scène le champion de moto Randy Mamola représenté à Laguna Seca durant la Spark Plug 200 Classic. Le pare-brise de sa moto est équipé d’une caméra de treize kilos pour tourner certaines scènes du film.
La cinquième photo du calendrier Classics immortalise Scureza, le personnage d’un chef d’œuvre italien connu et apprécié dans le monde entier : « Amarcord » de Federico Fellini (1973). Les pages de septembre et octobre ont pour personnage central une jeune fille qui roule nue à moto dans « Point limite Zéro » (1971) réalisé par Richard C. Sarafian. Ce best-seller des années soixante-dix est aujourd’hui encore considéré comme un film populaire et culte.

L’année se termine avec novembre et décembre consacrés à un autre film marquant de l’histoire du cinéma : « Mamma Roma » du réalisateur italien Pier Paolo Pasolini.Aujourd’hui, grâce aux petites caméras embarquées, il est facile de filmer une moto en mouvement. Mais en 1962, quand Pier Paolo Pasolini voulut filmer une scène où Ettore Garofalo et Anna Magnani roulaient à moto, c’était alors considéré comme un effet spécial.

« Take the Road – The best shots from the Motorcycle Film Festival 2013-2015 » est le titre de la version Contemporary du calendrier qui met en scène certains clichés de films ayant participé aux trois éditions du Motorcycle Film Festival. La couverture est consacrée au film réalisé en 2013 par Daniel Rintz et vainqueur de l’édition 2014 du festival, « Somewhere Else Tomorrow » : une moto, une route à parcourir et un budget limité pour réaliser un voyage incroyable. « 1 Mappa per 2 », le film réalisé en 2013 par Roberto Montanari et Danilo Caracciolo, occupe les mois de janvier et février. Il s’agit d’un documentaire de 70 minutes sur l’extraordinaire tour du monde en moto réalisé par Leopoldo Tartarini et Giorgio Monetti. En 1957, au volant de deux Ducati 175, ils traversèrent 5 continents, 35 pays et 4 révolutions.

Une image de « The Greasy Hands Preachers » (2014) de Clément Beauvais et Arthur de Kersauson a été choisie pour illustrer les mois de mars et avril. Mai et juin sont représentés par « The Best Bar In America » (2013) d’Eric et Damon Ristau, film vainqueur de l’édition 2013 du Motorcycle Film Festival. Ce film raconte l’histoire d’un écrivain qui parcourt les grands espaces de l’Ouest sur une BMW R60/2 de 1960 avec un side-car Velorex pour écrire un guide sur les meilleurs bars du territoire.

Un autre film de 2013, « Out of Nothing » de Chad DeRosa, tient l’affiche des mois de juillet et août. Cette histoire vraie de quatre hommes courageux prêts à tout pour battre le record du monde de vitesse sur moto au Bonneville Salt Flats dans l’Utah a remporté l’édition 2015.

L’image qui illustre les mois de septembre et octobre est tirée de « Trog » (2015) de Stephen Marino et Mel Stultz. Ce film est une ode à la liberté offerte par la moto.
Le film qui conclut le calendrier Contemporary a été tourné cette même année : « L’Équipée en Himalaya » de Cécile Ney raconte l’histoire de cinq motardes parisiennes qui parcourent sur leurs Royal Enfield Bullet, chargées de 100 kilos de bagages et de carburant, 2 000 kilomètres en se lançant à la conquête des pays de l’Himalaya.

Le calendrier est réalisé en collaboration avec le Motorcycle Film Festival grâce au soutien important du distributeur italien Rodaggio Film. Imprimé à seulement six mille exemplaires, d’un format de 58 x 47 centimètres, il est composé de sept feuillets de haute qualité (Un carton divise la version Classics de la version Contemporary). Les feuillets ont été soumis à un procédé d’impression à 5 couleurs avec un vernis mat sur les deux côtés du papier Magno Satin de 250 gr. Le carton patiné invercote de 400 gr a été lui aussi imprimé avec le procédé 5 couleurs et un vernis mat sur les deux côtés.

Le calendrier Metzeler a toujours été un objet culte pour les collectionneurs mais cette année, pour la première fois, la marque de pneumatiques a décidé de le rendre accessible pour ceux qui désireront une copie à accrocher au mur. Grâce au partenariat exclusif avec l’Ace Cafe London, le calendrier Metzeler 2016 pourra être acheté - jusqu’à une centaine d’exemplaires disponibles au maximum - directement sur le site du fameux Club.

Ace Cafe London.


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